Le directeur du SPNH tente de discréditer la direction actuelle de la Police nationale. Il vante les performances de l’ancien DGPNH et insinue même que le retour des bandits en mer servirait ses intérêts. Pourtant, la réalité contredit chaque mot. Les chiffres, les opérations et la dynamique du terrain racontent une tout autre histoire.
Le directeur du SPNH cherche à imposer l’idée que l’ancien DGPNH gérait mieux la situation sécuritaire. Il pousse même des insinuations dangereuses. Ses déclarations nourrissent la confusion et tentent de fragiliser une institution déjà sous pression.
L’actuel DGPNH mène une stratégie offensive et cohérente. Son équipe multiplie les opérations ciblées. Les réseaux criminels, longtemps tolérés par l’inaction du passé, perdent aujourd’hui du terrain. Plusieurs observateurs notent une rupture nette avec l’immobilisme qui freinait la lutte contre l’insécurité.
Une garde-côte plus réactive et plus présente
Le nouveau responsable de la garde-côte occupe ses fonctions depuis deux mois seulement. Pourtant, son bilan frappe déjà : aucune agression signalée en mer depuis sa prise de fonction. Les patrouilles se renforcent. La vigilance augmente. Les trafiquants perdent leurs anciennes zones d’impunité.
La polémique actuelle ne découle pas d’un manque de résultats. Elle naît plutôt de la fin d’un système basé sur l’inaction. Les intérêts perturbés cherchent désormais à saboter les avancées. Les faits, eux, restent têtus : la sécurité en mer progresse et la stratégie nationale reprend forme.
RL News
