Tentative de fraude déjouée : l’OAVCT et la BNC protègent plus de 122 000 gourdes

Tentative de fraude déjouée : l’OAVCT et la BNC protègent plus de 122 000 gourdes
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Depuis l’annonce d’une tentative de fraude visant l’Office d’Assurance Véhicules Contre Tiers (OAVCT), les réseaux sociaux se sont enflammés. En quelques heures, des messages alarmistes ont circulé, évoquant de prétendues pertes financières, alimentant inquiétudes et spéculations. Or, les faits, eux, racontent une tout autre histoire.

Le 12 août 2025, l’OAVCT a confirmé avoir bloqué à temps trois chèques suspects d’une valeur totale de 122 586,67 gourdes. Grâce à l’intervention rapide de la Banque Nationale de Crédit (BNC), pas un seul centime n’a quitté les comptes de l’institution. Les fonds sont intacts, sécurisés, et l’affaire est désormais entre les mains de la justice.

Ce qui s’est passé est simple : une tentative a été stoppée net avant qu’elle ne produise le moindre préjudice. Pourtant, certains ont choisi de transformer cette réussite en échec imaginaire. C’est là toute la perversité des rumeurs : elles inversent la réalité, elles punissent ceux qui agissent bien, et elles récompensent la désinformation.

Il faut le dire clairement : dans ce dossier, l’OAVCT n’a pas failli. Au contraire, il a démontré vigilance et réactivité, des qualités souvent absentes dans la gestion des affaires publiques. Les mesures prises ont été rapides, efficaces, et transparentes. Cette attitude devrait rassurer, pas inquiéter.

Les détracteurs qui agitent des accusations sans fondement devraient se demander à qui profite ce climat de suspicion. Car en amplifiant de fausses informations, on ne sert ni la vérité, ni l’intérêt public. On fragilise les institutions, on alimente le cynisme, et on détourne l’attention des vrais enjeux.

Dans cette affaire, la morale est claire : la rumeur a fait du bruit, mais les faits ont parlé. Et ils disent que l’argent est là, intact, protégé. Il est temps de cesser de donner plus de poids au vacarme des réseaux qu’aux preuves tangibles. Car, comme souvent dans ces polémiques fabriquées, le jeu ne vaut pas la chandelle.

RLnews ( RL)

rlnewshaiti

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